MOSQUEES, ISLAM : UN ETAT HORS LA LOI !

Publié le par Eudes d'Aquitaine

 

« Aujourd’hui, les maires sont les premiers bâtisseurs de mosquées », affirme Dalil Boubakeur, Président du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM). Cette phrase lourde de sens confirme que la loi de 1905 dite de Séparation de l’Eglise et de l’Etat n’est plus, entre l’islam et l’Etat sarkoziste, qu’une coquille vide.


LE BILAN

En 20 ans, les lieux de culte se sont multipliés avec, selon le Ministère de l’Intérieur « et des cultes » 2 000 salles de prières en activité.

Aujourd'hui plus de 200 moyennes et grandes mosquées sont programmées, pouvant accueillir jusqu’à 2 000 personnes ! Telle celle de Créteil, sœur jumelle des projets de Bordeaux, de Mulhouse ou de Marseille dont le gigantisme ne réside pas seulement au nombre de places mais à l’adjonction d’auditoriums, de librairies, de bibliothèques, d’écoles coraniques et commerces divers qui en font de véritables « centre islamiques ».


VIOL DE LA LOI

La loi de 1905 stipule : « La république ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte ». Alors pour contourner la loi, les maires UMP et PS aident et subventionnent « pour des raisons culturelles », d'où la présence de ces bibliothèques, cours de rattrapages etc... Le cultuel s'efface et le contribuable n'a qu’à payer ! A Créteil, c’est même une aide d’1 million d'€ à la construction et une subvention annuelle de 100 000 €. Vive la culture !

De même les mairies cèdent des terrains avec baux emphytéotiques (de 99 ans) contre un loyer ridicule ce que le FN réussit à bloquer à Roubaix, La Rochelle et Marseille ; mais jusqu’à quand ?

En France la puissance publique entretient les églises mais leur construction se fit grâce à la générosité des fidèles, non de l’Etat et ce depuis le Moyen-Age. En 1905 l’Etat a transféré la propriété des églises aux communes et des cathédrales à l’Etat, à charge de les entretenir. Ce n’est donc pas un privilège donné à l’église catholique mais le résultat d’une spoliation disons d’une « nationalisation ».


AU DELA DES MOSQUEES

L’Etat ne s’arrête pas là, il officialise la religion musulmane en France par la création du Conseil Français du Culte Musulman, conseil chargé entre autre d’organiser l’implantation et l’organisation des mosquées.

Allant plus loin dans l’installation de l’islam, N. Sarkosy crée « la Fondation des Oeuvres de l’Islam de France » par décret ministériel en 2005. Tout est dit dans ses statuts : subvention pour la construction, l’aménagement ou la rénovation de lieux de culte ; aides à la formation initiale ou continue des imams et aumôniers musulmans ; bourses d’étude aux étudiants en islamologie ; soutien à toute action de formation pour aider à la connaissance de l’islam en France. C’est l’intégration pour les français ! Pour les mosquées et le culte musulman, cette violation de la loi est totale et inadmissible. Elle contribue à faire de l’islam une religion quasi-officielle soutenue et financée par l’Etat. L’Etat, hors la loi, reconnaît, salarie et subventionne un culte !


L'interlocuteur privilégié est aujourd'hui l'U.O.I.F (l’Union des Organisations Islamiques de France) issue des « Frères musulmans » dont la devise est : « Le coran est notre constitution » ! Fiammetta Venerre, auteur de OPA sur l’islam de France, les ambitions de l’UOIF explique que l’imam (UOIF) de Bordeaux est un rétrograde, « il est persuadé que les différences neurologiques entre les hommes et les femmes justifient leur traitement différencié en islam » ! C'est déjà une réalité en France avec l’aménagement d’horaires pour les musulmanes dans les piscines publiques ou le port du voile quasi obligatoire hors de l’école dans de nombreuses familles.

 

Le CFCM oblige un Etat déliquescent à trahir ce qu’il appelle lui-même la laïcité.

Aménagement des repas dans les cantines scolaires, viande halal, plages horaires en entreprise pour les prières, mariages forcés alimentent un communautarisme qui détruit le sentiment national d’appartenance à une même communauté de vie, de pensée, de civilisation, de valeurs qui ont fait la France.


Reconnaissance évidente et alignement quand Bercy vient d’adapter la loi fiscale française avec la loi islamique !


Face à la pression de l’immigration, cause de cette situation, rappelons le ! une seule réponse s’impose : La restauration de l’Etat, de son autorité et du respect de la loi ; Le retour de la Nation comme principe fondateur d’unité protégeant nos racines, notre culture, nos valeurs.


Jacques Colombier, Conseiller régional, ancien conseiller municipal de Bordeaux,
secrétaire régional du Front National en Aquitaine

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